La naissance de la Cameroon Sport Press Association (CASPA) marque un tournant positif dans le paysage journalistique sportif camerounais. Fondée sur les principes de confraternité, de professionnalisme et de développement,...Lire la suite

La CAF (Confédération africaine de football)  a récemment annoncé des changements majeurs pour la huitième édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) 2024, qui a été repoussée du 1er au...Lire la suite

Réunis lors d’une conférence émotive le 2 novembre, les journalistes camerounais ont renouvelé leur engagement à lutter contre l’impunité. Un combat ardu mais crucial pour garantir un avenir plus sûr à la profession. Le Bureau exécutif du Littoral du Syndicat National des Journalistes du Cameroun (SNJC) a récemment réaffirmé son engagement envers la cause des journalistes. Cet événement émotionnel a conduit les journalistes à réfléchir sur leur avenir face à une impunité omniprésente qui menace leur profession. Le 2 novembre, les journalistes se sont réunis pour une énième autopsie de la situation de l’impunité mondiale, avec un focus particulier sur le Cameroun. Le panel incluait M. Denis KWEBO, un des piliers du SNJC, BAKAH Derrick, vice-président du SNJC pour la zone anglophone, et Me Ali CHEICK, avocat au barreau du Cameroun. snjc Malgré un taux d’impunité de 85% selon l’Unesco, les journalistes camerounais persistent dans leur lutte pour la justice. Habillés en noir ou rouge, conformément aux directives, plusieurs journalistes se sont rassemblés à « BT HOME » pour assister à cette conférence. Face à un panel expérimenté, les journalistes ont reçu des conseils et des messages cruciaux pour leur pratique professionnelle. Denis KWEBO a souligné l’importance de la solidarité et de l’adhésion à un syndicat comme le SNJC : « Il n’y a pas suffisamment de protection spécifique pour les journalistes dans la loi. Appartenir à notre syndicat, c’est appartenir à une famille de plus de 100 000 journalistes à travers le monde. » Il a également insisté sur la nécessité de respecter les règles d’éthique et de déontologie. Le vice-président BAKAH Derrick a évoqué les difficultés rencontrées dans la zone anglophone, tandis que Me Ali CHEICK a appelé à un lobbying massif pour obtenir des modifications législatives protégeant les journalistes. La conférence-débat s’est terminée par une photo de famille émotive des journalistes, brandissant des pancartes avec des messages forts, rendant hommage aux journalistes camerounais tués et dont les auteurs restent impunis.Lire la suite

Le marché financier régional de l’Afrique centrale est sur le point de connaître une transformation majeure avec l’installation d’un dépositaire central unique. Ce projet ambitieux vise à améliorer le fonctionnement, la sécurité et la transparence des transactions financières au sein de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). L’installation d’un dépositaire central unique pour le marché financier régional de l’Afrique centrale est en cours, avec pour objectif d’améliorer le fonctionnement, la sécurité et la transparence des transactions financières au sein de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Après plusieurs reports, la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) prévoit de lancer les activités de cette entité privée d’ici la fin de l’année 2024. Cette initiative est cruciale pour renforcer les opérations boursières et consolider les actifs financiers régionaux. Selon les informations partagées par le régulateur du marché financier d’Afrique centrale, le lancement du Dépositaire central unifié (DCU) est programmé pour la fin de l’année 2024. Cette entité privée sera chargée de centraliser et de garantir la conservation adéquate des titres des intervenants du marché financier sous-régional. Access-Bank-Head-Office Depuis 2019, la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) assure temporairement les fonctions de dépositaire central après la fusion des marchés financiers de la CEMAC. Toutefois, la création d’une entité dédiée est devenue impérative pour une gestion plus spécialisée et efficace des titres financiers. La BVMAC devrait détenir une participation majoritaire de 40% dans cette nouvelle structure. Le DCU mettra fin au rôle de la BEAC dans l’administration, l’enregistrement et la conservation des titres, tout en facilitant les opérations de compensation et de règlement des transactions financières. Cependant, des tensions semblent émerger entre la BEAC et la BVMAC concernant la mise en place de ce dépositaire central privé, retardant ainsi son lancement. La BEAC souhaite exercer un contrôle plus direct sur cette entité, tandis que la BVMAC soutient l’importance d’un dépositaire central indépendant pour garantir la transparence et l’efficacité du marché financier régional. Le DCU aura pour mission principale de centraliser et de gérer les titres financiers émis sur le marché boursier de la CEMAC. En garantissant un stockage sécurisé et une gestion efficace des titres, le DCU contribuera à renforcer la confiance des investisseurs et à promouvoir un environnement financier stable et transparent pour l’ensemble des acteurs de la région. La concrétisation de ce projet à la fin de 2024 marquera une étape importante dans l’évolution et le renforcement du marché financier régional de l’Afrique centrale.Lire la suite

Le cours de l’action de la Société africaine forestière et agricole du Cameroun (Safacam) a connu une progression significative en 2023, enregistrant une hausse de 8,2% à la Bourse des...Lire la suite

La 29e édition du Salon du Chocolat a ouvert ses portes au public le 30 octobre à la Porte de Versailles à Paris. Cette année, l’événement met en avant des recettes innovantes et diversifiées, des démonstrations inédites à partir de la fève de cacao, ainsi que des animations et des défilés en robes de chocolat. Pour ce rendez-vous crucial qui réunit 60 pays venus exposer leur savoir-faire, les visiteurs de tous horizons, et les « chocolatomanes », le chocolat est plus que jamais à l’honneur, le tout dans une ambiance festive et riche en échanges. salon chocolat 2024, cote-d’ivoire, ecuador Du chocolat comme on ne l’a jamais vu. En forme de marteau, de princesse, de fer à repasser à l’ancienne, tous les moyens sont bons pour séduire les nombreux visiteurs du Salon du Chocolat, qui s’est ouvert le 30 octobre 2024 à la Porte de Versailles. Pendant cinq jours, des chefs étoilés, des pâtissiers de haut vol, des confiseurs exceptionnels, et des producteurs de cacao vont partager avec le public astuces, recettes, conseils culinaires à base de chocolat et ses dérivés, ainsi que des connaissances approfondies sur cette friandise connue de tous. Même s’il ne figure pas parmi les aliments les plus consommés dans le monde, le chocolat noir, blanc, au nougat, au rhum ou à la framboise, pour ne citer que quelques-uns, reste un aliment apprécié de beaucoup et est accessible à toutes les bourses au Salon du Chocolat, pour le plus grand bonheur des gourmets. Cependant, pour faire partie des convives du Salon du Chocolat, il faut prévoir entre 8 et 42 euros selon qu’on soit enfant, adulte ou en famille. Le Salon du Chocolat est aussi une plateforme d’échanges, de rencontres B2B où l’on peut également conclure de bonnes affaires.Lire la suite

Inrigo AS, une entreprise norvégienne spécialisée dans les technologies de traitement de l’eau, a été retenue pour le projet de réhabilitation et d’extension de la station d’eau potable de Japoma,...Lire la suite

L’installation d’un dépositaire central unique pour le marché financier régional de l’Afrique centrale est un projet qui prend forme, avec comme objectif principal d’améliorer le fonctionnement, la sécurité et la...Lire la suite

Le Salon international de l’alimentation (SIAL), qui se tient tous les deux ans à Paris, a récemment ouvert ses portes au Parc des Expositions de Villepinte. Pendant cinq jours, cet...Lire la suite