Le Gabon se lance dans une nouvelle opération de financement sur le marché financier, avec pour ambition de mobiliser 357 milliards de F CFA à compter du 5 février 2025....Lire la suite
Le Cameroun entre dans une nouvelle ère des paiements transfrontaliers grâce à l’arrivée de Tranglo, une entreprise singapourienne spécialisée dans les solutions de transfert d’argent. En décembre 2024, Tranglo a...Lire la suite
La République Démocratique du Congo (RDC) amorce une réforme majeure pour mettre fin au désordre qui caractérise l’exécution des dépenses publiques. Cette initiative a été annoncée par la Première ministre,...Lire la suite
En 2024, le Cameroun a mobilisé 14,4 milliards de Fcfa de recettes non fiscales auprès des travailleurs de nationalité étrangère. Ce chiffre, dévoilé le 9 janvier 2025 à Yaoundé lors...Lire la suite
Les États-Unis ont récemment annoncé la restitution au Nigéria de 52,88 millions de dollars, soit 34 milliards de FCFA, d’actifs confisqués à Diezani Alison-Madueke, ancienne ministre nigériane du Pétrole, et...Lire la suite
Une analyse des informations recueillies auprès du Fonds monétaire international (FMI) a révélé le classement des dix pays africains les moins endettés. Grâce à ces données, on découvre des nations...Lire la suite
En 2024, le continent africain a compté 21 milliardaires en dollars, selon les classements de Bloomberg et Forbes, qui se concentrent sur les Africains résidant sur le continent ou y...Lire la suite
Depuis le 1er janvier 2025, les transactions via mobile money, un service incontournable pour des millions de Camerounais, sont frappées d’une nouvelle taxe. Désormais, 4 FCFA s’ajoutent à chaque opération,...Lire la suite
Après une décennie de négociations entre le gouvernement et les partenaires sociaux, le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) au Congo connaît une hausse significative de 40 % applicable à partir...Lire la suite
Le recours au financement pour faire face aux défis économiques, accentués par des crises mondiales et des instabilités locales met en évidence la dépendance des pays africains vis-à-vis de l’extérieur....Lire la suite
Le développement de la République Démocratique du Congo rencontre de nombreux obstacles. S’étant heurté au silence de la société indienne Exim Bank, qui avait pourtant promis un déblocage de 180...Lire la suite
Opération prévue pour 2025, la mise en circulation des nouvelles pièces de monnaie intervient dans le but de résoudre un problème devenu alarmant : la pénurie de pièces de monnaie....Lire la suite
Le marché financier régional de l’Afrique centrale est sur le point de connaître une transformation majeure avec l’installation d’un dépositaire central unique. Ce projet ambitieux vise à améliorer le fonctionnement, la sécurité et la transparence des transactions financières au sein de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). L’installation d’un dépositaire central unique pour le marché financier régional de l’Afrique centrale est en cours, avec pour objectif d’améliorer le fonctionnement, la sécurité et la transparence des transactions financières au sein de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Après plusieurs reports, la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) prévoit de lancer les activités de cette entité privée d’ici la fin de l’année 2024. Cette initiative est cruciale pour renforcer les opérations boursières et consolider les actifs financiers régionaux. Selon les informations partagées par le régulateur du marché financier d’Afrique centrale, le lancement du Dépositaire central unifié (DCU) est programmé pour la fin de l’année 2024. Cette entité privée sera chargée de centraliser et de garantir la conservation adéquate des titres des intervenants du marché financier sous-régional. Access-Bank-Head-Office Depuis 2019, la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) assure temporairement les fonctions de dépositaire central après la fusion des marchés financiers de la CEMAC. Toutefois, la création d’une entité dédiée est devenue impérative pour une gestion plus spécialisée et efficace des titres financiers. La BVMAC devrait détenir une participation majoritaire de 40% dans cette nouvelle structure. Le DCU mettra fin au rôle de la BEAC dans l’administration, l’enregistrement et la conservation des titres, tout en facilitant les opérations de compensation et de règlement des transactions financières. Cependant, des tensions semblent émerger entre la BEAC et la BVMAC concernant la mise en place de ce dépositaire central privé, retardant ainsi son lancement. La BEAC souhaite exercer un contrôle plus direct sur cette entité, tandis que la BVMAC soutient l’importance d’un dépositaire central indépendant pour garantir la transparence et l’efficacité du marché financier régional. Le DCU aura pour mission principale de centraliser et de gérer les titres financiers émis sur le marché boursier de la CEMAC. En garantissant un stockage sécurisé et une gestion efficace des titres, le DCU contribuera à renforcer la confiance des investisseurs et à promouvoir un environnement financier stable et transparent pour l’ensemble des acteurs de la région. La concrétisation de ce projet à la fin de 2024 marquera une étape importante dans l’évolution et le renforcement du marché financier régional de l’Afrique centrale.Lire la suite
L’installation d’un dépositaire central unique pour le marché financier régional de l’Afrique centrale est un projet qui prend forme, avec comme objectif principal d’améliorer le fonctionnement, la sécurité et la...Lire la suite