Un passe-temps ou une occupation quotidienne qui est en passe de devenir un divertissement pourrait devenir l’objet d’un échange ou partage en communauté et vous offrir avec le temps un retour auquel l’on ne s’attend pas.
Une telle initiative s’entreprend surtout lorsque l’on est sans emploi ou est une option lorsqu’on recherche un complément de revenus. Eh oui, on peut tirer avantage de sa routine et les femmes sont généralement les mieux placées pour cela. Entre l’entretien de leur domicile, l’éducation de leurs enfants, la cuisine, l’équilibre entre vie familiale et professionnelle et l’on en passe, elles finissent souvent par avoir de bons plans et de l’expérience à partager. Certaines ont pu en faire une véritable passion et créer toute une communauté autour du même centre d’intérêt et cela se passe sur les réseaux sociaux et ensuite au-delà.
Sur le réseau social Facebook, une dame partage plusieurs fois par semaine des images du goûter de ses enfants scolarisés. Pour elle, leur faire de quoi manger pour toute leur journée avant qu’ils soient de retour est devenu une véritable gageure. Elle s’efforce de maintenir une alimentation équilibrée pour ces derniers et cela lui réussit bien. Résultat ? De milliers de femmes abonnées à sa page professionnelle afin d’obtenir de bons plans. Aussi, les sociétés opérant dans les secteurs d’activités pour le bien-être des enfants peuvent y faire du placement.
Sur le même réseau, le groupe « MAMAN à petit budget » pour citer un exemple, administré par deux femmes de nationalités distinctes fédère de nouvelles mamans. On peut y poser des questions concernant ses préoccupations avec son bébé et être éclairée par les nourrices qui en savent sur le sujet. Le groupe est en outre devenu une vitrine pour le placement de produits divers utiles pour les nourrissons.
L’on trouve également des pages et groupes autour des centres d’intérêt tels que l’élevage, le marketing, du parrainage primaire… qui aboutissent à une rémunération complémentaire ou mieux, positionnent leur promoteur en tant que prescripteur ou influenceur. Oui, l’on peut tout à fait vivre de son hobby !
