À la tête du Burundi depuis 2020, le président Évariste Ndayishimiye conduit son pays sur la voie d’une transformation économique et sociale. Porté par une vision ambitieuse – faire du Burundi un pays émergent à l’horizon 2040 et développé d’ici 2060 – il mise sur l’énergie, les infrastructures, la jeunesse et la diplomatie pour inscrire durablement la nation sur la carte africaine et internationale.
Une vision pour l’avenir
Dès le début de son mandat, Évariste Ndayishimiye a mis en avant un Plan National de Développement aligné sur une trajectoire claire :
« Nous devons bâtir un Burundi prospère où chaque citoyen trouve sa place et contribue à la grandeur de notre nation. »
Cette ambition se traduit par une augmentation significative du budget national, qui a progressé de près de 16 % pour l’exercice 2024-2025, avec des priorités accordées aux infrastructures, aux salaires et aux services sociaux. La croissance économique, attendue à plus de 3,5 % en 2024, s’appuie notamment sur l’agriculture, l’électricité et la relance des investissements.
Énergie et infrastructures, leviers du développement
La question énergétique est au cœur de son action. L’inauguration de la centrale hydroélectrique de Rusumo (27 MW) et les nouveaux projets en cours permettront d’ajouter plus de 70 MW au réseau national, réduisant progressivement les coupures.
« L’électricité n’est pas un luxe, c’est une nécessité pour notre jeunesse, nos écoles, nos hôpitaux et nos entreprises. »
Parallèlement, des projets routiers et urbains visent à améliorer la circulation, désenclaver les zones rurales et soutenir la croissance des villes, moteur de l’économie nationale.

Une diplomatie dynamique et ouverte
Sur le plan international, le président Ndayishimiye a mis fin à l’isolement diplomatique et repositionné le Burundi comme acteur majeur de la région et du continent. Président de la Communauté de l’Afrique de l’Est en 2022, vice-président du Bureau de l’Union africaine en 2023, et président du COMESA depuis 2024, il porte la voix d’un pays tourné vers la coopération régionale et le commerce continental.
Ses partenariats stratégiques avec l’ONU, la Chine et d’autres puissances renforcent les investissements dans l’agriculture, l’énergie et les infrastructures.
Une jeunesse engagée et confiante
La jeunesse burundaise, qui représente plus de 60 % de la population, exprime une fierté grandissante face aux nouvelles perspectives. Les programmes de formation, les initiatives pour l’emploi et le soutien aux jeunes entrepreneurs nourrissent l’espoir d’une génération tournée vers l’innovation.
« Le président nous rappelle que nous sommes les piliers de demain. Il nous donne l’envie de bâtir notre avenir ici, au Burundi », témoigne une étudiante de l’Université du Lac Tanganyika.
Culture et identité nationale
Les acteurs de la culture saluent également la volonté présidentielle de promouvoir l’identité burundaise à l’international. Soutien aux festivals, valorisation des danses traditionnelles, encouragement des jeunes cinéastes : ces initiatives contribuent à faire rayonner le pays sur la scène culturelle africaine.
« Notre culture est une richesse. Elle doit être protégée, célébrée et exportée », souligne le président lors d’un discours à Gitega.
Avec une vision stratégique, une jeunesse mobilisée et une diplomatie réaffirmée, Évariste Ndayishimiye place le Burundi sur une trajectoire d’émergence. Son message est clair : développer l’économie tout en préservant la culture et en donnant aux jeunes les moyens d’être les acteurs d’un avenir durable.
