La Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank) a annoncé la création du Fonds africain pour le film, doté de 1 milliard de dollars US, visant à transformer l’industrie cinématographique du continent. Grâce à ce financement, l’Afrique pourra produire 2 000 longs métrages chaque année, chacun bénéficiant d’un budget moyen de 500 000 dollars.
Ce fonds marque une avancée majeure pour le secteur, en garantissant une hausse significative de la production cinématographique africaine et une meilleure compétitivité à l’échelle internationale. Comparé à Nollywood, qui réalise environ 2 500 films par an avec des budgets souvent limités, cette initiative permettra de développer des contenus de meilleure qualité et d’accroître leur distribution mondiale.
Portée par des figures influentes du cinéma comme Viola Davis et Boris Kodjoe, cette initiative vise à attirer des investisseurs, renforcer les infrastructures, et positionner l’Afrique comme un acteur incontournable de l’industrie cinématographique mondiale.
Avec ce fonds, l’Afrique dispose enfin des moyens nécessaires pour révéler tout son potentiel créatif et exporter ses récits à une échelle inédite. Une révolution qui pourrait redéfinir le paysage du cinéma international.
Que devrait faire les politiques publiques pour favoriser l’acquisition des financements au cinéastes nationaux. Je pose cette question en qualité de sous Directeur de la Cinématographie, des Normes et des Contrôles au Ministère des Arts et de la Culture du Cameroun.
Merci merci merci …
Très bonne initiative pour notre industrie cinématographique.
Merci aux initiateurs
Vivement que les conditions d’accès aux financements soient publiés avec large diffusion .